Charleroi

Containers, échafaudages et installations diverses — Autorisation pour occupation de la voie publique

Containers, échafaudages et installations diverses — Autorisation pour occupation de la voie publique

S i vous envisagez de placer un container, un échafaudage ou d’autres installations diverses sur la voie publique, vous devez impérativement obtenir une autorisation en remplissant le formulaire de Demande d’Occupation Privative Temporaire de la Voie Publique. Ce formulaire est disponible en téléchargement au format PDF.

Étapes à suivre

1. Téléchargement et remplissage du formulaire

Téléchargez le formulaire et complétez les informations demandées avec soin :

2. Envoi des pages du formulaire aux services compétents

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 : Une fois les pages complétées avec vos informations et la description de votre demande, envoyez-les au Service Voirie de la ville de Charleroi.

Pour les sections de :

  • Dampremy
  • Jumet
  • Gosselies
  • Lodelinsart
  • Roux
  • Gilly
  • Montignies-Sur-Sambre
  • Ransart

Contact : 071/86.93.42

Mail : occupation.​nord@​charleroi.​be

Pour les sections de :

• Charleroi
• Couillet
• Goutroux
• Marchienne-au-Pont
• Marcinelle
• Monceau-sur-Sambre
• Mont-sur-Marchienne

Contact : 071/86.27.00

Mail : occupation.​sud@​charleroi.​be

Ce formulaire est non seulement nécessaire pour le placement de containers et d’échafaudages, mais aussi pour l’installation de toutes sortes de cloisons, barrières ou autres clôtures, le dépôt de matériaux, et l’établissement de machines telles que broyeurs, malaxeurs, grues, monte-charges, élévateurs, etc., dans le cadre de travaux de construction, de démolition, de reconstruction, de transformation, de réparation ou d’entretien des immeubles. Il est également requis pour le placement de containers bureaux et pour l’évacuation de déchets de toute nature, ainsi que pour le placement de monte-charges ou élévateurs en cas de déménagement.

> Des initiatives sont en cours pour digitaliser ce formulaire et faciliter son accès à l’ensemble des citoyen·ne·s.